Lors du point de presse organisé le vendredi dernier par le porte parole du Gouvernement, la question de l’utilisation des pratiques traditionnelles dans le processus de lutte contre le terrorisme a été évoquée. Selon ce dernier, l’option est à considérer.
Concrètement, l’État ne trouve aucun inconvénient à cela. Mieux, les traditions peuvent servir lieu d’adjuvants tant que leur utilisation se fait dans des cadres formels et adéquats. « Après, s’il y a des adjuvants, de quelle nature qu’ils soient, qui peuvent y concourir, pourvu qu’ils trouvent les bons circuits pour concourir sans obliger la République» a déclaré Wilfried Léandre Houngbédji.
Pour lui, l’essentiel est d’arriver à bout du fléau sans engager la santé de l’État. Aucune aide ne serait de trop pour garantir la sécurité des citoyens.
Rubensia CODJOVI