Poursuivi avec neuf autres personnes, l’ex-maire a comparu, lundi 5 août 2024, devant les juges de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET).
Selon le plaignant, représentant d’une collectivité, les mis en cause se sont accaparés du domaine de sa famille et l’ont vendu après le lotissement de la zone. Il a fait savoir que sur les 32 hectares appartenant à sa collectivité, seulement 13 parcelles leur ont été attribuées après le lotissement. Et ce, après des réclamations.
Suite à sa déposition, la Cour a ordonné la mairie d’Akpro-Missérété de répertorier les superficies occupées par la prison civile, la gare et l’Ong. L’ancien de la commune d’Akpro-Missérété a plaidé tout simplement plaidé non coupable.
Le juge a renvoyé le dossier au 25 novembre 2024 pour convoquer l’actuel maire et d’autres membres de la famille victime.