Coup d’Etat en Guinée-Bissau: La CEDEAO face au casse-tête du retour à l’ordre ‎

International

Ce jeudi 27 novembre 2025, les chefs d’État de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) se sont réunis en urgence, chacun derrière son écran, pour tenter de trouver une issue à la crise qui secoue la Guinée-Bissau. Quelques heures plus tôt, le général Horta N’Tam, qui était jusque-là peu connu du grand public, s’était autoproclamé président de la transition, après avoir mis fin au processus électoral en cours par un coup d’État militaire.

sas.cmd.push(function(){sas.render(""92571"")})

‎Avec ce nouveau coup d’État, la CEDEAO, qui se veut garante de la stabilité démocratique en Afrique de l’Ouest, se retrouve une fois de plus confrontée à un dilemme: comment réagir fermement sans envenimer la situation sur le terrain? Pour répondre à cette question, les dirigeants ont dirigé les discussions autour de plusieurs options telles que les sanctions ciblées contre les putschistes, la suspension de la Guinée-Bissau des instances régionales, ou encore l’envoi d’une mission diplomatique pour tenter de renouer le dialogue. Malgré ces différentes pistes, aucune décision concrète n’a été annoncée. Les discussions continuent et on espère qu’elles porteront de fruits.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *