Une affaire d’adultère fait grand brui, dans l’arrondissement de Soclogb.m à Dassa-Zoumè. Une femme, mère de quatre enfants et cuisinière dans la cantine scolaire d’une école primaire, a reconnu entretenir une relation avec un enseignant de l’établissement.
Au début, elle a nié les accusations portées contre elle par son mari, un paysan qui avait des soupçons sur l’infidélité de sa femme. Mais lorsque ce dernier a découvert qu’elle avait subi des rituels mystiques pratiqués par l’enseignant, censés l’éloigner de son époux, elle n’a eu d’autre choix que d’avouer.
Selon des témoignages, l’enseignant avait l’habitude d’appeler la femme tard dans la nuit et d’organiser des rendez-vous secrets. Il lui aurait fait des promesses d’avantages matériels et d’aide pour ses enfants. Confronté par le directeur de l’école, il a d’abord nié en bloc, avant que la femme ne finisse par tout révéler. Face à cette trahison, le mari, profondément blessé, a proposé des rites traditionnels pour rétablir l’équilibre conjugal, mais sa femme a refusé. Elle a plutôt préféré poursuivre sa relation avec l’enseignant. Ce dernier est un habitué de ces pratiques similaires dans la région.
Les autorités éducatives sont appelées à veiller à l’éthique et à la conduite des enseignants, afin que ces situations ne se reproduisent pas et ne viennent pas entacher leur mission.Suivez plus d’actualité en vous abonnant gratuitement à notre chaîne WhatsApp👇https://whatsapp.com/channel/0029VaDRmSrJJhzhSaGmWF2c
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