Retards liés à l’ouverture des marchés modernes: La Directrice de l’ANaGeM justifie et fixe des échéances

Société

Le gouvernement du Président Patrice Talon poursuit son ambition de modernisation des infrastructures commerciales, un pilier de son programme de développement urbain et économique. Toutefois, malgré les avancées significatives, l’ouverture de certains marchés modernes accuse de retard pour diverses raisons. Par la voix de sa Directrice Générale, l’Agence Nationale de Gestion des Marchés(ANaGeM) justifie ces retards et donne avec précision les dates d’inauguration de certains marchés modernes.

Selon Eunice Loisel Kiniffo, Directrice Générale de l’Agence Nationale de Gestion des Marchés (ANaGeM), ces retards sont liés à des défis organisationnels, logistiques, et à des travaux d’assainissement encore en cours. Néanmoins, des dates précises ont été annoncées pour certains complexes commerciaux. À Cotonou, le marché moderne de Gbégamey sera inauguré le 12 décembre 2024, suivi de celui de Tokplégbé à Akpakpa Abattoir deux jours plus tard. À Natitingou, le marché sera accessible dans les prochains jours, tandis que le marché de PK3, destiné aux vendeurs de friperies de Missèbo, ouvrira ses portes début 2025. Cependant, d’autres marchés, comme ceux de Cococodji et de Houndjro à Abomey ou encore celui de Sainte Trinité à Agla, restent confrontés à des travaux d’aménagement des voies d’accès.

Malgré ces retards, l’ANaGeM rassure sur les efforts déployés pour accélérer les mises en service.

Bérenger HOUNHOUEGNON

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