Sorti à peine de la prison grâce à une loi d’amnestie votée et promulguée par le président Macky Sall, Ousmane Sonko n’a pas tardé à se relancer sur le plan politique. L’actualité nationale liée à la présidentielle oblige.
En effet, dans l’après midi de ce vendredi 15 mars 2024, l’opposant était face à la presse. Dans sa déclaration, le président du parti Pastef entre temps dissout, a lancé des mots d’ordre a ses fidèles. « C’est bien de suivre les caravanes, mais la punition c’est le retrait des cartes électeurs. Que chacun récupère sa carte d’électeur pour voter massivement, mais également sécuriser le vote » , a-t-il invité.
Par rapport au président sortant, il a été clair. Il n’a pas mâché ses mots. Lesquels mots sont menaçants. « S’il y a un imbroglio à l’issue de ces élections, son départ ne sera pas facile. Il faut qu’il le sache. Il sait ce dont son ex-candidat est capable. S’il veut rendre un dernier service à ce pays, qu’il assure la transparence du scrutin », a lancé Ousmane Sonko au président Macky Sall.
Il faut rappeler que le scrutin est prévu pour le 24 mars 2024.
