Ce lundi 03 novembre 2025 à l’université d’Abomey-Calavi, des travaux de pré-manipulation en génétique fondamentale étaient programmés pour les étudiants de la Licence 2 et de la Licence 3 de la filière CBG (Chimie, Biologie et Géologie), Faculté des Sciences et Techniques (FAST). Initialement prévu pour démarrer à 16h, le démarrage de la séance a connu un léger retard de trente à quarante cinq minutes environ. Ce qui a légèrement empesté la clôture de la séance(19h30) pour des raisons de contrôle d’identité. Une mesure prise par le Dr car des étudiants absents se faisaient représenter par un tier. Ce contrôle a donc pris beaucoup de temps vu l’effectif des étudiants présents. Séance terminée, les étudiants et les professeurs devraient se mettre en route pour leurs demeures respectifs. Mais contre toute attente, le bâtiment(FGA), dans le lequel ils étaient, était déjà bloqué de l’extérieur pour la simple raison qu’il était déjà 19h, heure de fermeture des amphithéâtres. Les lampes des amphithéâtres étaient allumées, il y avait du mouvement dans l’amphithéâtre, des voix se faisaient entendre par moment et pleins d’autres facteurs qui pourraient notifier la présence des étudiants dans l’amphithéâtre. C’est vrai qu’ils étaient au troisième étage mais même en étant en bas, on pourrait facilement apercevoir qu’ils y étaient toujours pour venir les faire sortir soit les donner un bout de temps supplémentaire. Car ce n’était nullement de leur propre volonté si il étaient encore là jusqu’à cette heure jugée tardive.
Après constat de la fermeture, les responsables d’amphithéâtre ont essayé d’appeler la hiérarchie pour trouver solution. Mais bon, le tort porté contre eux était ce qu’ils faisaient encore en amphi jusqu’à cette heure-là. Même avec des explications, ils peinaient à se faire comprendre. Celui, qui a fermé le bâtiment, a même rejeté à plusieurs reprises l’appel des responsables. Finalement, il est venu aux environs de 20h30, avec une mine très sévère, pour ouvrir le bâtiment. Bien que sans conséquence grave, l’incident a quand même soulevé une des questions qui mimait la vie étudiante: la voix des étudiants. Les étudiants veulent se faire entendre, s’expliquer, se faire comprendre,… Mais ce droit d’expression leur est privé. On leur jette automatique pour tout incident. C’est de leur faute, c’est eux qui ont créé le désastre. Ce qui n’est pas toujours le cas. Ils appellent donc à plus de discussion pour que ces cas ne se reproduisent.


